« Dallas buyers club » : la fureur de survivre
Pitch
1986. Un électricien, féru de sexe, drogue et rodéo, apprend qu'il est atteint du SIDA. Les médecins ne lui donnent que 30 jours à vivre, il survivra sept ans en recherchant sans relâche des thérapies alternatives.
Notes
hospitalisé avec lui, Rayon (Jared Leto), travesti triste et toxicomane (dont on comprendra très tard les origines sociales et le rejet familial dont il est l’objet), Ron commence par le repousser, ils finiront inséparables. La FDA interdisant les thérapies alternatives, Ron traverse les frontières en quête d’une solution thérapeutique : d’abord, le Mexique où il est initié par un médecin, rayé du conseil de l’ordre, qui le sauve avec des traitements complémentaires de l’AZT, puis, d’autres pays.Mais Ron en profite pour faire des affaires, comme il ne peut pas vendre directement ces produits qu’il importe du Mexique ou du Japon, talonné par les représentants de la FDA (Food and Drug Administration) et les autorités fédérales, il imagine un club (Dallas buyers club) où pour une cotisation mensuelle fixe les adhérents peuvent emporter tous les produits disponibles pour se soigner. Ron engage alors Rayon comme associé, au début pour ses contacts avec la communauté gay, puis, il s’en rapproche, les différences se gomment pour laisser la place au partage de l’exclusion et à l’amitié inconditionnelle.
"Dallas buyers club" vaut surtout pas son interprétation et le rappel des préjugés + l'impuissance de la médecine il y a 30 ans face au SIDA
— Camille Marty (@Cine_maniac) January 23, 2014
Et aussi
Notre note
(4 / 5)
Laisser un commentaire