« Grace de Monaco » : de la mièvrerie à la niaiserie
Pitch
Année 1962, Hitchcok demande à Grace de Monaco de revenir au cinéma. Empêtrée dans son rôle d'altesse sérénissime, ce sera impossible.
Notes
Ah, qu’il est loin le temps où Olivier Dahan était un bon réalisateur (je pense à « Déjà mort »). Si déjà « La Môme » m’avait plutôt déplu, à côté de « Grace de Monaco » c’était « Citizen kane »… Mais quelle idée, d’abord, de s’intéresser de nos jours à la vie d’une actrice, Grace Kelly, issue d’une famille riche de Philadelphie, qui choisit (ou se laisse choisir) de devenir princesse par une sorte d’arrangement, la Principauté de Monaco n’ayant plus le sou à l’époque? On est loin de la love story, du fameux « conte de fées »… Le seul élément intéressant (fort peu développé) est pourquoi Grace Kelly fait tout ça pour être dans la lumière : le cinéma, la forteresse royale de la principauté miniature de Monaco? Pour éblouir son père qui préférait tellement sa soeur Peggy et qu’elle n’a jamais, bien évidemment, réussi à changer d’avis…
Vu "Grâce de Monaco" à Paris… Il est loin le Dahan de "Déjà mort"…1 roman-photos longuet/étriqué suscitant zéro empathie… #Cannes2014
— Camille Marty (@Cine_maniac) May 14, 2014
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